Dans Le Dîner de têtes, l'une de ses "Pièces grinçantes", Jean Anouilh, avec humour et intelligence, décrit l'hypocrisie du monde politique. Des convives sont réunis, déguisés en héros de la Révolution française, et s'acharnent à détruire leurs adversaires lors de ces repas élégants. L'auteur y dénonce violemment les procès de la libération dans cette pièce contre la politique, la haine, les idéologies.
"On n'est jamais trop cruel avec les imbéciles."
Dans Le Dîner de cons (la pièce de théâtre ou son adaptation cinématographique de Jacques Veber), une bande d'amis organise chaque mercredi un dîner où chacun doit amener un con ; les organisateurs se moquent des cons toute la soirée sans que ces derniers s'en rendent compte. Sera déclaré vainqueur celui qui aura déniché le plus con d'entre les cons. Mais rira bien qui rira le dernier.
"Ne m'invitez jamais à dîner, j'aurais toujours un doute."
Moi, ce que je souhaite, c'est dîner en tête-à-tête, non pas avec une tête de con mais avec un homme de tête !
Le pire con, c'est le vieux con. On ne peut rien contre l'expérience.
Rédigé par : Ditch | 14/11/2011 à 17:31
PS&LL: tout ça pour finir en tête à queue ?...
Rédigé par : Dominique | 14/11/2011 à 22:47
"Les femmes ont toujours pitié des blessures qu'elles n'ont pas faites elles-mêmes."
Rédigé par : PauvreBitos | 14/11/2011 à 23:12
....en tête à queue, .. avec une tête de noeud !
Rédigé par : Louis | 15/11/2011 à 07:17
Bande de têtes à claques ! Cette insulte est bien entendu destinée aux têtes de con et aux têtes de noeud...
Rédigé par : PS & LL | 15/11/2011 à 13:02