Pépites de soleil et lambeaux de lune
Du Septentrion au Midi, de l'Occident à l'Orient, du Nadir au Zénith...
Accueil
Accueil
Archives
Profil
S'abonner
11/10/2011
L'amour, comme la mort, est un aboutissement
De Maillol à Sam Gave !
11 oct 2011 14:21:30
NOTE PLUS ANCIENNE
Je passe et je repasse...
Qu'est-ce que vous attendez, les filles ? Carrefour Discount > Le fer à repasser Vidéo pubtv sélectionnée dans Pub
NOTE PLUS RECENTE
Amandine, un avant-goût de Noël
Pépites de soleil et lambeaux de lune
2
Suivies
167
Suiveurs
Rechercher
Mes autres comptes
Twitter
|
Pepite62
Les commentaires récents
Ducon:
Ce lecteur anonyme assidu sent son nain libidi...
|
En savoir plus »
Sur
L'adieu aux larmes
Dominique:
Ditch croyant aux miracles, serait-ce lavodka d...
|
En savoir plus »
Sur
L'adieu aux larmes
Ditch:
JE CROIS AUX MIRACLES! UN PETIT COUCOU DE MOSCO...
|
En savoir plus »
Sur
L'adieu aux larmes
L'amour est le plus long chemin entre une espérance qui se croit et une déception qui se sait.
On nous fait chier avec ces postures de bido/bidetchons. Au surplus, tais-toi et avale, si possible après le repassage ma chérie.
Essayer de "jubiler dans le transport" et d'éviter de travestir vos besoins d'éjaculations avec des mots creux. Ces habitudes d'auges cassent la joie.
Rédigé par : L'Hésichiaste | 11/10/2011 à 21:17
"Oncle Archibald, d'un ton gouailleur
Lui dit : " Va-t'en fair' pendre ailleurs
Ton squelette
Fi ! des femelles décharnees !
Vive les belles un tantinet
Rondelettes ! "
In "Oncle Archibald", Georges Brassens
"Quand je l'eus mise au lit, quand j'voulus l'étrenner
Quand j'fis voler sa jupe
Il m'apparut alors qu'j'avais été berné
Dans un marché de dupe
Remball' tes os, ma mie, et garde tes appas
Tu es bien trop maigrelette
Je suis un bon vivant, ça n'me concerne pas
D'étreindre des squelettes"
In "La fille à cent sous",Brassens Georges (ben oui pour changer)
Rédigé par : Dominique | 11/10/2011 à 21:51
Eh bien, au risque de passer pour une midinette, une fan de la Petite Maison dans la Connerie ou une débile mentale, je revendique mon droit à l'espérance. Ainsi que de considérer que l'éjaculation n'est pas un but dans la vie, encore moins les histoires de bidets, mais de croire que l'étreinte de deux corps peut être un moment de grâce, qui peut faire oublier un instant que tout n'est pas beau et bon - qu'il est exaltant de caresser, du regard, de la main et des lèvres, la peau de l'être aimé -, de croire que deux êtres peuvent s'abandonner et être dans le don sans réserve - voir éclater le plaisir de l'autre, quoi de plus jubilatoire -, j'en perds mon raisonnement, mes mots... L'acte d'amour me semble plus proche de la commmunion que de la décharge. Rien qu'à cette évocation, j'en frissonne de bonheur !
Rédigé par : PS & LL | 12/10/2011 à 01:13
J'adhère au commentaire de PS&LL: pour le tas d'os seule l'étreinte compte car depuis Henri IV on sait que la zigounette n'est pas un os!
Rédigé par : adamastor | 12/10/2011 à 11:01
Ah chère Hôtesse !
J'aurais préféré ne rien écrire, car qui ne dit mot con-sent, mais vous auriez pu mal interpréter mon silence ...
Aussi permettez-moi d'applaudir des deux mains.
Euh, à propos de ces dernières, j'ai enfin appris (grâce à vous) ce que signifie procrastiner ...
Comme vous semblez en être la spécialiste, du moins le sous-entendez vous, permettez-moi une question de novice:
Doi(g)t-on remettre à deux mains ce que l'on peut faire à une seule ?
Rédigé par : Dominique | 12/10/2011 à 22:23
Après réflexion, je demande la suppression du titre tendancieux de cette note, faisant accroire que l'amour aurait la même réalité que la mort.
Rédigé par : L'Hésichiaste | 14/10/2011 à 16:20