Apporte-moi de l’eau pour étancher ma soif
La fièvre de toi m’assèche, parcheminant mon âme,
Apporte-moi de l’eau pour étancher ma soif
Ne la capte pas au puits de ton indifférence
Apporte-moi de l’eau pour éteindre le feu
Ce feu qui me consume, me brûle comme il me damne
Apporte-moi de l’eau pour éteindre le feu
Et arrose le coeur de mon incandescence
Vois comme elle coule à flots sur mes joues ravinées
Cueille-la de tes lèvres et laisse-moi m'abreuver
A cette bouche aimée, source de mes brûlures
Apporte-moi de l’eau pour que je puisse vivre
Ou donne-moi de l’eau pour qu’enfin je m’y noie
Aujourd'hui 9 août , c'est la saint Amour, le seul saint indispensable du calendrier.
Que l'amour que nous éprouvons soit tendre ou passionné, manifestons-le à ceux qui nous sont chers !
Et comme quand on aime, on ose tout (comme les cons), osons Johnny qui chante l'amur tujurs !
Il y a des gens qui n'aiment pas, dont le coeur est devenu sec à force de ne pas aimer. C'est triste pour eux. Je vais vous faire une confidence : il vaut mieux aimer trop que pas du tout. Ainsi moi qui vous cause, je n'ai pas honte d'avouer que j'aime à la fois Derek Shepherd (trop craquant Patrick Dempsey - cf. docteur Mamour) et Gregory House (que l'on ne présente pas). Les fans des séries médicalo-hospitalières me comprendront...
Il y a deux sortes d'amour : l'amour insatisfait, qui vous rend odieux, et l'amour satisfait, qui vous rend idiot (Colette). Choix difficile, mais a-t-on le choix ?
"Tu vois, c'est quand même plus rigolo et moins dangereux de tenir un blog de blagues, de poésie et de petites fleurs des champs qu'un pseudo blog engagé et satirique."
Moins dangereux que ce qu'écrit le Grincheux Grave ? Oui, mais plus rigolo, je n'en suis pas certaine.
Car ce n'est pas rigolo de tenir un blog, cela demande du temps, de la réflexion... même pour photographier les fleurs de son jardin, recopier une blague trouvée sur le net ou envoyée par un pote, pomper - et parfois - écrire un poème. Il faut trouver un ton, intéresser son lectorat, ne pas déraper en (trop) racontant des choses personnelles, faire de l'humour quand on passe des nuits et des nuits à se désespérer... Rigolo ? pas vraiment ! On se crée un personnage, un peu soi, un peu qui l'on voudrait être. De là à rapidement ne plus savoir qui l'on est !
Et c'est une démarche totalement stérile et frustrante. Considérons que le lectorat est composé de ceux qu'on connaît dans la réalité et de ceux qu'on ne connaît pas. Pour ne pas trop choquer les premiers, on a tendance à surveiller ses propos, à se censurer : ne pas dire trop de conneries, ne pas dévoiler certains pans de se vie privée, ni les alerter sur un moral fluctuant, ni... bref, faire attention à ce que l'on écrit. Comme on ne se sent pas libre de tenir certains propos, quel intérêt d'écrire ces notes ? D'autant que nos proches, même s'ils nous lisent, nous commentent rarement. N'est-ce pas GG ?
Les autres, on ne les connaît pas, alors quelle importance ? Hormis que peu à peu, on s'habitue à lire leurs commentaires, on se fait une idée de qui ils sont (et on se trompe !) par les propos qu'ils tiennent ; et parfois même on sympathise. Jusqu'à attendre leurs commentaires, leurs réactions. Il arrive même que l'on écrive une note pour eux (pas une note subliminale quand même, si ?) Et il faut de plus en plus être vigilant sur ce qu'on écrit, il ne faut pas froisser certaines sensibilités, il ne faut pas critiquer des gens connus, car on a tôt fait de se retrouver soit avec des menaces, soit traîné en justice. N'est-ce pas GG ?
Alors on tient un blog sans queue ni tête, avec des fleurs de son jardin (avec message quand même), on recopie des blagues de temps en temps (pour détendre l'atmosphère quand, la veille, on a manifesté un coup de blues), on écrit un poème coquin (pour un prince charmant de conte de fées). Mais à quoi ça sert tout ça ? A rien, à rien du tout. Il faudrait avoir la sagesse d'arrêter quand on n'a plus rien à dire.
Mais si on ne mettait à arrêter tout ce qui ne sert à rien...
OK j'arrête, sinon je vais déraper et écrire des conneries.
Je ferais mieux d'aller à la fête foraine qui se déroule à moins de cent mètres de chez moi, à la ducasse comme on dit dans mon Nord natal. Les autos tamponneuses nous servaient à lier connaissance avec celui qui nous plaisait ; et le but était de terminer dans la chenille, pour nous embrasser quand la toile de bâche nous recouvrait et créait une semi obscurité. De brefs instants de bonheur absolu, qu'on revivrait plus tard en se les racontant entre copines. Simplement effleurer les lèvres de notre chéri nous mettait en transe, midinettes que nous étions. Inutile de se moquer, je sais bien que nous n'avons pas changé dans le fond, hormis qu'il serait ridicule que nous nous pâmions pour un petit baiser de rien du tout ! Vous pouvez bien en faire des gorges chaudes, si cela vous amuse...
Je vous laisse, j'y vais, de toute manière je ne peux pas dormir. Y aura-t-il des autos tamponneuses ?
découverte sur la place Montfort, à Vaison-la-Romaine, gravée dans une succession de pierres alignées de chaque côté d'une rigole, constituant "le chemin aux écritures"
Après cela, il est conseillé de visiter les caves de Gigondas, Vacqueyras, Cairanne..., puisqu'il paraît que boire du vin élève nos esprits vers la connaissance. Et qu'il a aussi pour effet de noyer son chagrin... sous réserve qu'on ait le vin gai toutefois.
Le ton monte : Façon familière de dire qu'une moche prend l'ascenseur
Suppositoire : Invention qui restera dans les annales
Je me suis fait un bleu : Expression couramment utilisée par Zahia
"Oui chérie" : Gain de temps
Mister freeze :Il est l'homme le plus sucé au monde
Soutien-gorge : Synonyme de flamby. Tu tires la languette et tout tombe
Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes, c'est que tu n'as pas compris la leçon
OU EST DONC MON RICARD : Conjonction de coordination
La beauté intérieure :Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire
Péniche : C'est oune zizi portugaiche
Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier
Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres
68km/h : Limite de vitesse pour faire l'amour. Eh oui, à 69, on part en tête-à-queue
Pharmacie : Confiserie pour vieux
Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella
Jardiland : Seul endroit où, si tu prends trois râteaux, tu as une pelle offerte
Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes
Un meurtre de sang froid : Un ice-crime
Homard : Animal le plus heureux du monde. Même mort, on lui suce la queue
Sentiments partagés : Quand votre belle-mère est en train de reculer dans le ravin avec votre voiture toute neuve
Archipel : Outil pour creuser des architrous
Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes
Les ciseaux à bois : Les chiens aussi
Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve
Carte bleue : Viagra féminin
Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer
L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main
Le gospel : C'est quand ton gamin a pris un coup de soleil
Femme : C'est comme une haie. Si tu ne t'en occupes pas, elle part chez le voisin
Femme facile : Femme ayant les même besoins sexuels qu'un homme
Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme en dépense
Grand amour : Expression datant du XVe siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans
Fainéant : Ne jamais remettre à demain ce que tu peux faire après-demain
Saturne : C'est quand tu es buré
Atypique : T'es mal rasé
Psychopathe : Psychologue chez Lustucru
Un poussin : Egal 2
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